Cineforever

Pour son premier film, Samuel Tilman signe un véritable coup de maître. Il parvient à maintenir une tension constante et à entretenir le suspense de façon magistrale. Sans conteste, "Une part d’ombre" est l’un des fleurons du cinéma belge.

Avec « Bitter Flowers » d'Olivier Meys, le cinéma belge livre une nouvelle pépite. Ce film est un superbe portrait de femme et une charge discrète, mais très dure, contre le libéralisme économique qui détruit des millions de vie.

D'ordinaire, la maladie d'Alzheimer évoque à tout un chacun la perte de reconnaissance des êtres les plus proches. Ce symptôme n'est peut-être que l'une...

« Ni juge, ni soumise » dresse le portrait décapant du juge iconoclaste Anne Gruwez. Avec elle, c'est sûr, le surréalisme à la belge a encore de beaux jours devant lui !

Avec cette 8ème édition, à la fois politique, émouvante et décapante, Les Magritte ont franchi un cap. Cette soirée était une réussite totale qui aura marqué les esprits. De quoi réconcilier, enfin, le cinéma belge avec son public ?

Avec « Wonder Wheel », Woody Allen signe un nouveau chef d’œuvre à la fois désenchanté, tendre et finement drôle. La cuvée 2018 du Maître régale !

Ne pas reconnaître le génie de James Gray est une hérésie. Une Palme d'or serait plus que logique. Espérons que cette prophétie se réalisera et que le Cinéma, avec un grand C, reconnaîtra officiellement un jour l'un de ses plus grands artisans.

« L'Insulte » de Ziad Doueiri est un film fort et impressionnant de maîtrise où plane l'ombre du grand cinéaste iranien Asghar Farhadi.

Avec « Pentagon Papers », Steven Spielberg livre à nouveau une magistrale leçon de cinéma qui porte un propos important sur la liberté de la presse. Du grand cinéma comme on aimerait en voir plus souvent.

Michèle Laroque signe une comédie fantaisiste et pétillante qui donnera le sourire aux spectateurs. On ne lui demande rien de plus. N'en déplaise aux critiques, 2018 sera l'année des femmes !